quelle vue du salon ! des tétées bovines

comme d'habitude, je ramasse les os que je trouve dans la forêt pendant mes promenade avec Titus

cette fois, c'est 5 vieux os abimés, que je pose dans le jardin pour que la pluie les nettoie

les crânes, je les attache à un tronc d'arbre mort, transformé ainsi en totem

en vieillissant, ils verdissent

il y en a un qui se disloque

c'était des animaux de la forêt

sur notre toiture restaurée, il reste quelques détails à travailler et quelques bouts de zinc pour le faire

un cache pour masquer le polycarbonate qui apparaîssait sous l'angle de la façade côté chemin

on découpe, on plie, on cloue, on colle, on travaille le zinc avec plaisir

derrière, une prolongation de la "jupe" existante jusqu'à l'angle côté chemin

pour joliment souligner l'improbable rencontre entre la restauration à l'ancienne et la fantaisie !

vaches et veaux en rang

vaches et veaux se dispersent

une tétée énergique

dernier jour de septembre, encore estival

on a fait rejointer les pierres du four, ce joli arrondi dans le dos du fournil

autour, par terre, c'est le désert, rien ne pousse

hop ! un gazon bien fourni, c'est quand même plus joli !

je le prélève dans le gravier qu'il colonise, en plateau où je serre les touffes que je déracine patiemment

ainsi, tout en désherbant l'esplanade de gravier, je gazonne la zone déserte

j'avais bâti un petit muret le long du chemin dans la forêt avec des briques jetées là

pour amuser mon fils quand il fait son tour à vélo et passe par là

mon fragile édifice n'a pas tenu longtemps

je l'ai refait : j'ai toujours aimé jouer au Légo !

une grande promenade à travers la forêt pour déboucher sur un chemin vers le haut de la Butte

un houx comme taillé en arbre dégouline de baies rouges

c'est là qu'on trouve ces mystérieuses fougères, non identifiées, dont j'ai raté mon précédent prélèvement

je rviendrai avec un transplantoire

un petit empilement de pierres à ma façon